Open data, ce nom ne vous dit peut-être encore rien et pourtant il prend une place de plus en plus importante dans la sphère du web et des entreprises. Mais que se cache-t-il derrière ce nom ?
Open data peut être traduit en français par « l’ouverture des données ». Cette mise à disposition des données va permettre à des entreprises, des développeurs de logiciels, des étudiants ou encore Monsieur et Madame tout le monde de collecter, d’accéder à des informations, de les analyser et d’imaginer des services et des applications innovantes. Les expériences d’Open Data permettent un premier regard intéressant comme dans l’agglomération Rennaise où ont été recensées les hauteurs de trottoir pour permettre aux personnes à mobilité réduite d’adapter leur itinéraire en fonction de ces données.
Dans cette démarche SNCF en matière d’Open Data et dans sa volonté forte de développer l’information voyageurs et de simplifier les voyages quotidiens, Transilien est à l’avant-garde et lance un concours « Open App ». Sur le site http://openapp.transilien.com/, vous pouvez déposer vos idées d’applications. L’idée de ce concours ? Proposer une idée d’application pour améliorer vos trajets quotidiens.
Un jury, composé de Benoît Thieulin (fondateur de la Netscouade), Roxanne Varza (bloggeuse, Fondatrice de Grils in Tech, ex éditrice de techcrunch France), Philippe Gargov (Consultant freelance sur les problématiques urbaines et la ville numérique, créateur du blog pop-up urbain) et de Patricia Dreidemy (Journaliste et conférencière), présélectionnera des idées pour le Prix du Jury et le Prix du public.
A la clé ? Un an de voyages gratuits partout en France.
Viendra ensuite la seconde phase de ce concours à savoir le développement des deux applications qui auront remporté les prix.
A vos claviers ! Pour toutes celles et tous ceux qui posteront leurs idées d’applications, n’hésitez pas à les faire partager ici et nous pourrons en discuter et pourquoi pas les développer ensemble !
Une initiative qui va dans le sens de la mobilité et du service…et un jury de qualité : belle opération !!
Initiative intéressante pour l’usage de nos smartphones… à condition de pouvoir les utiliser dans notre RER C car il est impossible de téléphoner dans Paris intra muros sur pratiquement tout le trajet de la ligne C. Alors la data encore moins.
J’ai alerté depuis 3 ou 4 ans la SNCF, le STIF, les 3 opérateurs principaux. Chacun se renvoie la balle.
Vous vous félicitez d’avoir 10% de touristes sur la ligne C, mais quelle démonstration de progrès on leur fait !
Quand il y a un souci sur la ligne C, si jamais on est coincé dans le train, aucune possibilité d’alerter qui que ce soit.
Certes le seul avantage, c’est qu’on est tranquille.
Alors Jérémy, s’il vous plaît, lancer un projet pour qu’enfin on vive avec le progrès. MERCI
Bonjour Fred,
Le problème est connu et effectivement dans nos gares intramuros, le réseau est difficilement accessible. Le développement du réseau dépend des opérateurs. Le sujet est effectivement primordial dans le sens où vous utilisez vos smartphones pour obtenir des informations principalement dans les trains. Le problème est général à quasiment toutes les lignes dès lors qu’elles ne sont pas extérieures.
Je vais tâcher d’obtenir des informations sur des projets éventuels de développement et je reviendrai vers vous pour vous en faire part.
Merci ! Même à BFM c’est difficile, la dalle s’étend de plus en plus et les ondes passent mal. Il n’y a que les stations « ouvertes » comme Champs de Mars, Kennedy ou Javel où on peut s’en sortir.
Cela ne concerne pas toutes les lignes souterraines. Sur le réseau RATP, ça fonctionne plutôt bien. Curieux que les accords avec les opérateurs n’aient couvert que le réseau RATP…
N’y-a-t-il pas des « obligations » de la part des opérateurs ?
On parle toujours des zones blanches à Trouilly-les-oies, pourtant il ne faut pas aller loin pour les trouver.
A BFM, il y a effectivement une perte brutale de signal.
Sur le réseau RATP, ça marche pour vous, moins pour moi. Concernant les accords entre les opérateurs et la RATP, c’est cette dernière qui a lancé un appel d’offres à la fin de l’année 2011 pour constituer une société commune avec un seul d’entre eux. De plus, à l’heure actuelle, nous captons un débit EDGE et non 3G dans le métro Parisien.